Voici la partie 8 dédiée à Mizouu L'Eponge
et l'introduction de la partie 9 : La Légende !
La Légende mais qui est-ce ? Il se reconnaîtra s'il lit cette nouvelle partie
Bonne lecture à ceux qui liront !
PARTIE 8 : L’Eponge des montagnes.[Journal de Linkef entrée A5 à 14:45.29]
Nos deux courageux aventuriers et notre animal de compagnie se rendent aux sources chaudes. Ils font une autre super rencontre qui va changer leur vie.Varagone, Sopirin, moi et les bestiaux grimpaient le long des pentes de la montagne enneigée
(sauf le dragonnet). Nous approchions de la grotte des sources chaudes où un le petit village de Les Sources Chaudes y colonisait l’eau revigorante. Nous entrâmes dedans. L’intérieur était sombre, on entendait le clapotis des gouttes d’eau tombant du plafond. Tout d’un coup, les ténèbres s’enfuirent pour nous faire découvrir un paysage magnifique. Le parterre en roches grisâtres, des petites maisons en bois et au fond, les sources chaudes où se baignaient des nombreuses personnes de presque toutes les classes. Nous décidâmes de nous baigner moi et Sopirin. Puisque les animaux étaient interdits, nous attachâmes Varagone et laissâmes nos invocations se balader un peu plus loin. J’allai mettre un bermuda et un short pour me baigner. Je sortis, courus et sautai la tête la première dans l’eau chaude. Sopi me suivit. Je plaquai mon dos contre un rocher et laissai le reste de mon corps se baigner. Tout le monde s’amusait, se détendait sauf un jeune Xélor renié de tous. Je demandai à un voisin Ecaflip :
- Qui est ce Xélor là-bas ?
- Lui c’est Mizouu l’Eponge.
- Mizouu l’Eponge ? Pourquoi ce nom ?
- Mizouu c’est son nom. L’Eponge c’est parce qu’il a tué Mob l’Eponge, c’est son châtiment.
- Mob l’Eponge ? Châtiment ? questionnai-je de plus belle.
- Oui c’est le gardien de la source enfin c’était. Mizouu a escaladé les rochers et a déplacé un tout petit caillou qui a fait tomber d’énormes rochers sur Mob qui se baignait juste en dessous. C’est pour cela qu’il est renié et appelé jusqu’à la fin des temps Mizouu l’Eponge.
- Je vois…
Je m’approchai près de l’abandonné qui pataugeait dans un bassin uniquement fait pour lui. Il me regarda rapidement et rabaissa les yeux. Je lui parlai :
- Bonjour Mizouu c’est bien ça ?
- Tu viens te payer ma tête comme les autres ? me répondit-il de sa voix aigue.
- Non, je viens faire connaissance.
Il se leva, sautillant dans tous les sens. Au fond, il était hyperactif. Il répétait très rapidement :
- J’ai un nouvel ami ! J’ai un nouvel ami !
Il m’embarrassait à sautiller partout. Je n’arrivai pas à le suivre des yeux. Un cri de femme vint casser la joie de toutes les personnes dans l’eau :
- Un monstre ! Un monstre mange mon lapin.
On entendait par la suite :
- Miam, Manger lapin, lapin être très bon !
Mon regard se posa brusquement là où j’avais attaché Varagone. La corde avait été rongée. Je me précipitai là où les cris se propageaient accompagné de Sopirin et du petit Xélor. J’ouvris la porte rapidement et horreur ! Varagone croquait à pleine dent la tête du lapin, laissant le sang dégouliné sur ses joues. Je lui hurlai :
- Varagone ! Arrête !
Il fit un demi-tour. Quand il me vit, il s’agenouilla et s’excusa :
- Pardonnez Varagone maîtres. Varagone avait faim et corde n’était pas au goût de Varagone.
- Je t’avais dit qu’il ne nous apporterait que des ennuis. me dit Sopirin.
- C’est bon ça passe pour cette fois…
La nuit tombait même si l’on ne remarquait point. Mizouu nous ouvrit généreusement sa porte pour loger chez lui. Je couchai à l’étage sur le lit de paille épais comme une serviette. Sopirin et Mizouu squattaient les deux grands lits du bas, larges comme deux serviettes. Varagone lui dormait à la belle étoile sans les étoiles. Je fis un rêve, un rêve affreux, comme une vision.
J’étais dans une plaine, pas un arbre à l’horizon, pas un bruns de végétations seulement la terre aride. Du sang répandu sur ses terres, les casques armures de guerriers éparpillés un peu partout. Une présence, puis rien. Je parcourais les lieux, déserts, infinis. Rien, à part des débris. Au loin, un corps, un blessé, se relevant, titubant… Je courus vers lui pour l’aider. En vint, ce corps, un Ecaflip avait rendu son dernier souffle, il tomba à terre. Je me retournai et regardai tous les casques, armes des guerriers morts au combat. Cet Ecaflip avait les avait combattu. Ce millier d’hommes, il les avait vaincus. Mais pourquoi me montrer cela ? Pour quoi ? Le vaillant guerrier avait écrit quelque chose à l’aide de son sang comme ultime parole :
« Vaincre un millier n’est rien ;
Mais dans quel but ?
Quel est le but de la vie ?
A-t-elle vraiment un but ?
Pourquoi vivre si elle n’a pas de but ?
Parce que nous y prenons goût ;
C’est parce que nous y prenons goût ;
Que nous avons peur ;
Peur de la mort ;
Moi je n’ai pas peur, je n’ai plus peur ;
On dit que la mort n’est rien ;
Que c’est le passage vers une nouvelle vie ;
Quel est l’intérêt puisque la vie aussi n’est rien;
J’aurais pu me relever, mais je refuse la vie ;
Je suis las d’elle, je veux connaître l’inconnu ;
La mort est peu être le but de la vie ;
A celui qui lira, qu’il réfléchisse ;
A ces paroles ; parce ce qu’il croit être un but ;
N’en ai pas un… » Avait-il raison ou était-il fou ? Se pourrait-il que la chance que nous bénéficiions, la vie, ne soit qu’une perte de temps ? Soudain tout devint blanc, mon rêve continua.
Je me réveillai, descendis, je vis que les autres n’étaient pas levés. Je me plaquai contre le mur et marchai sur la pointe des pieds. Je sortis et j’aperçus Varagone qui poursuivait une chauve-souris
(dur à trouver le jour je sais…). Il l’attrapa et arracha sa tête avec ses dents. Il me vit et me proposa en laissant échapper du sang de sa bouche :
- Le maître veut-il goûter ce met délicieux ?
- Eh… Je n’ai plus très faim…
- Comme le maître voudra.
Je décidai d’aller me baigner tout habillé pour me réveiller sans me douter du grand mal qui m’attendait, je plongeai rapidement. La scène qui suivit se qualifia d’un seul et unique mot :
AAAAAHHHHH ! Mon cri comme vous le pensez a réveillé tous les habitants. En quelques secondes, ils se réunissaient autour de moi en colère. Un Crâ prit la parole :
- Ca va pas de crier comme ça à cette heure ?
Je leur bredouillai en frissonnant :
- L’eau…brrr… Elle…Est gelée… Brrrr.
Tous s’affolèrent, tous « gouttèrent » l’eau, tous furent horrifiés. Un Sacrieur vint devant la foule et leur dit :
- Mes amis, tout cela, est à cause de Mizouu l’Eponge, il a tué le gardien !
Un Eniripsa continua :
- C’est aussi à cause des étrangers, la source prend une température glaciale, le jour après leur arrivée et c’est un des leurs qui le découvre après avoir plongé dedans ! Mais qu’allons nous faire ?
- Pourquoi ne pas rebaptiser Les Sources Chaudes, les Sources Froides ? leur dis-je.
Ils me regardèrent encore plus furieux qu’avant. Ils sortirent leurs haches, épées, bâtons… Mizouu, Sopirin et Varagone me rejoignirent pour combattre. Les villageois nous assaillaient. Sopirin et moi appelèrent Craqueleur et Draco en renfort. Nous lançâmes nos frappes qui furent repoussées par la force des Iops et Sadidas. Varagone se dédoubla et hachait menu les habitants. Un Iop se dressa devant avec ses deux sabres feudala, un dans chaque main. Les coups de hache et d’épée s’entrechoquaient. Le Iop désarma notre allié Sram et il le trancha d’un coup d’épée. Varagone était à terre, Sopirin et moi ne pouvions rien contre tous ce monde. Nos invocations étaient assiégées par tous les ennemis. Mizouu m’expliqua :
- Aidez-moi à atteindre les rochers.
J’acquiesçai d'un hochement de la tête. Je sortis mon marteau et fonçait dans le tas. J’assommai quiconque passait près de moi. J’aperçus Mizouu gravir les rochers. Mes ennemis m’enchainaient de coups, je tombai à terre à côté de mes amis. Mizouu en haut du plus haut rocher cria :
- Vous m’avez abandonné ! Vous m’avez pris pour un moins que rien ! Ce que j’ai fait était un accident et vous n’avez rien cherché à comprendre ! Je vous haïs !
Mizouu sauta dans les airs, ses mains s’illuminèrent d’une aura bleue. Il s’immobilisa. Il tendit les mains vers ses cibles. De ses mains s’échappèrent de la poussière qui se déposa sur les villageois en colère. Le Sacrieur de tout à l’heure ria :
- (rire) C’est tout ce que tu…
Il s’arrêta de parler, la bouche toujours ouvertes. Tous eussent le même sort. Mizouu ne leur avait pas enlevé la vie mais seulement le temps. Il leur avait infligé la pire des morts : la plus lente qui existe. Mizouu nous soigna, nous mis des bandages sur nos blessures et nous expliqua en sautillant dans tous les sens, de sa voix toute joyeuse.
- Nous partirons, je n’ai plus rien à faire ici.
Sur ce, demain nous partirons plus nombreux pour notre but le trèfle des quatre saisons. En repensant au mot but, je leur racontai mon rêve sur le chemin de la maison. Tous restèrent perplexes, tous, sauf Mizouu qui reprit :
- C’est étrange… Ce que tu racontes ressemble à l’histoire d’Ezio Lastiko, un grand guerrier Ecaflip, mais personne ne sait ce qu’il a réellement écrit, lorsqu’on a retrouvé le corps, ses dernières paroles s’étaient effacées. Il t’a contacté c’est sûr…
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1) Les personnages :
Pas de personnage IG dans la prochaine partie parce que le rôle est déjà attribué.
plusieurs personnages inédits : Vous pouvez en inventé un qui sera plus ou moins important selon vos idées;
2) Orientation :Hum... Je vous laisse deviner.
3) Le reste du plus sérieux au plus débile :Mettez plein de phrases susceptibles d'être, utilisées, des mots etc...
Donnez moi des idées pour que la partie 9 soit encore meilleure !