La suite ! La suite ! La voilà, c'est la fin après j'arrête j'en ai mare...
Meuh non j'aime vous pourrir la vie avec mes pavés j'vais pas m'arrêter maintenant que j'ai retrouver l'ins-pi-ra-tion ! Bon comme d'hab, bonne lecture et pardonnez s'il y a des incohérences dans le texte (comprenez 4 pages word...)
PARTIE 10 : La menace s’intensifie
[Journal Linkef entrée A7 à 10 :27 :18]
Comme convenu, nous partons pour le village de Kanojedo plus nombreux où commencent réellement nos mésaventures. Je sortis de ma tente, personne n’était encore levé. Je mangeai un morceau de pain, si l’on put appeler cela du pain, et commençai à ranger mes affaires. Le Kanojedo était à une heure de marche d’ici. Maintenant que le trèfle était en notre possession, nous pouvions défier Drannoc. Hélas nul ne savait où il se demeurait depuis sa dernière apparition à Sirapin. Certes, nous étions coupés de toutes informations mais s’il avait été ne serait-ce qu’aperçu, croyez-moi que tout le monde serait au courant. Sopirin finit par se réveiller, bien sûr, il ne comprendrait pas ce qu’il c’était passé cette nuit ni comment le trèfle m’était apparu. Je préférai garder le secret pour le moment. Il me demanda :
- Bonne nuit ?
- J’ai connu mieux… répondis-je à voix basse. Et toi ?
- Idem.
Nous restâmes silencieux jusqu’au réveil de Mizouu et de Varagone. Nous préparâmes les dernières affaires avant de partir. Mizouu, joyeux, chantonna :
- Allons plus vite que Lastiko !
Je le vis tombé à terre, Lasti lui avait donné un bon coup de poing au niveau du ventre. Nous entendîmes :
- Personne ne peut aller plus vite que moi ! grogna-t-il.
Varagone s’interrogea :
- Varagone devenir comme Jan-Nedark, lui entendre des voix ?
Quant à Sopi, lui sortit une bière bien forte pour se calmer. Mizouu se releva et balbutia :
- Qui ? Qui… a dit ça ?
- C’est moi ! reprit Lastiko.
Je leur dis d’un long soupir :
- Je vous expliquerai sur la route…
Nous prirent la direction du Kanojedo. Nous errâmes dans les plaines verdoyantes. Comme vous le pensez, Sopi était affalé sur l’épaule de Craqueleur ivre mort. Sur la route, je leur montrai le trèfle des quatre saisons. Le petit Xélor, surpris, m’ensevelit de questions :
- Et ? Et, et ? Comment tu as fait pour l’avoir ? Et ? Et, et ?
- J’ai fait un rêve- - -
- Un rêve et ? Et, et ? C’était quoi ce rêve ? m’interrompit Mizz.
- Arrête de- - -
- Et ? Arrêter quoi ? Et, et ?
- Rhhaaaa ! Il est tombé du ciel et je l’ai pris ! Lui mentis-je.
Son enthousiasme cessa brusquement, il baissa la tête et regardais longuement le parterre. Ah ! Enfin un moment de calme ! Soudain le ‘bing’ qui casse tout, Sopi suivant l’exemple, si l’on pu appeler cela exemple, questionna :
- Dis, dis ? Comment tu as fait pour avoir le trèfle ?
Je me mis à hurler :
- Vous le faites exprès ou quoi ?
En cœur, ils me répondirent d’un ton mélodieux :
- Oui !
J’accélérai le pas, les laissant un peu loin. J’entendis deux ‘arrrrg’. Ils s’étaient faits agressé… Je me retournai et dégainai mon marteau… Quand… Lastiko, oui, leur avait dit à sa manière de se taire. Mizouu et Sopirin se tortillaient par terre de douleur. Je les aidai à se relever avec Craqueleur qui ne manqua pas de me rappeler :
- Maître, ce qu’il est lourd cet ivrogne !
Je pouffai rapidement de rire. Lasti me tapota l’épaule, il voulait me parler :
- La bestiole qui vous accompagne, elle n’est plus là…
- Varagone ?
- Parce que ça a un nom cette chose ? reprit-il étonné.
Je ne l’écoutai plus. Je le cherchai encore et encore. Je fouillai dans les buissons, les terriers des wabbits. J’examinai les lieux près d’un chêne quand Varagone apparut la tête en bas, accroché par les jambes à une branche à cause d’un piège. Je soupirai :
- Tu es vraiment un cas toi…
- Varagone être un cas ? Si lui être alors lui ne pas montrer aux maîtres ce que Varagone avoir trouvé ! Objecta-t-il en me narguant.
Je sortis une grosse cuisse de dragodinde et l’exhibait devant la face blafarde affamée. Je lui proposai :
- Tu vois cette cuisse ? Si ce que tu as trouvé est intéressant… Et bien, elle est à toi.
Il agitait sa tête brusquement et s’exclama :
- Varagone va pouvoir manger !! Venez maître suivez-le !
Je criai à mes compagnons :
- Suivez le pas !
Nous nous hâtâmes en haut d’une colline. A son sommet, nous découvrîmes un cratère où de nombreux menhirs, disposés en cercle, demeuraient. Au centre, un autel qui devait servir jadis à prier la déesse Jiva. Nous nous en approchâmes précautionneusement. Les torches proches s’illuminèrent d’une douce lueur verte. Mon sac se mit à vibrer, je le pris et en sortis la brindille offerte par Ci-dessous. Instinctivement, je la posai sur l’autel. Des feuilles apparurent autour de l’offrande, se métamorphosant en notre petite créature. Il sautilla dans tous les sens en criant de joie :
- Youhhouu ! Je suis Ci-dessous !
Varagone me prit la manche et quémanda :
- Le maître veut-il donner la nourriture à Varagone ?
Je lançai la viande en l’air. Le squelette se précipita à sa poursuite. Ci-dessous regarda Sopirin et lui parla curieux :
- Sopirin ne fait pas son rite habituel ?
- Hein ?
- Bref, Ci-dessous n’est pas là pour ces sottises ! Ci-dessous doit remettre cette tablette à Ci-dessus.
Il claqua des doigts et une lumière semblable à celle des flammes révéla une plaque de marbre blanc, mais raillé. Ci-dessous reprit :
- Cette plaque représente les huit élus qui s’opposeront à Drannoc.
Lastiko prit la plaque qui c’est certain pour les autres lévitait. Sa voix résonna :
- Les huit élus : deux Osas, un hum hum… Sram, un Xélor, Un Sacrieur, un Crâ, Un Ecaflip et…
- Et ? Lui posai-je.
- Je ne vois pas, regarde l’inscription est raillée… A supposé que chacun d’entre nous est un élu, il n’en manque plus que trois.
Nous écartâmes notre regard de la tablette en espérant que Ci-dessous saurait. Mais, à sa place se trouvaient la brindille luisante et un grain de pétunia comme la dernière fois. Après avoir cherché à décrypter désespérément l’inscription, nous repartîmes pour le Kanojedo. Une heure de voyage, malgré quelques désagréments
(oui on s’est paumé), se dressait devant le village incendié. Des bworks, des bworks à la solde de Drannoc avaient assailli le petit bourg, ils jetaient les prisonniers dans des cages. Nous nous précipitâmes derrière un mur, armes en main. Je leur conseillai :
- Il faut trouver des rescapés !
Ils acquiescèrent tous. Nous nous séparâmes pour plus d’efficacité. Je me faufilais discrètement dans les maisons incendiées, neutralisant quelques bworks au passage. Rien, je ne trouvai que des enfants asphyxiés, des femmes brulées et des hommes éventrés. Je finis par abandonner. Tout à coup, j’entendis un cri provenant du Kanojedo. Je m’empressai de m’y rendre. J’inspectai les corps mais personne de vivant. Je pensai que j’étais arrivé trop tard cependant les cris continuaient. Je martelai le sol énervé de ne pas trouver le survivant. Sous le coup de mon marteau, le parterre se brisa, laissant échapper une faible lueur. Je décidai d’agrandir la brèche. Je découvris alors le sous-sol du Kanojedo. Je descendis et avançai vers au bout du couloir. La porte était ouverte, et j’aperçus une silhouette noire, transparente dépouillée de visage. Il étranglait de sa main sanglante, un Sacrieur. Je l’entendis :
- Un Elu en moins, et de deux, Ah aha aha !
- Elu ? Mais de quoi parlez-vous Sorcier ? suffoqua sa victime.
- Hélas pour toi, tu ne le sauras jamais, ricana la silhouette.
Il leva son bâton, ce bâton, celui d’Adoy. Je m’élançai aussitôt sur le soit disant Sorcier. Il m’arrêta dans mon élan en invoquant une onde de choc. Je fus propulsé contre le mur, au bord de l’évanouissement. Le Sorcier s’exclama en direction du Sacrieur :
- Mais quelle chance, encore un élu mais les attires-tu comme des mouches Alexiboss ? J’ai tué ton ami Eniripsa, élu lui aussi, et maintenant voici devant moi l’un des deux Osamodas !
Il s’approcha de moi, et pointa son arme sur mon bras. Il murmura une formule démoniaque. Mes forces me quittaient. Avant le trou noir, je vis mes compagnons arrivés et se battre contre le sorcier……………………………………………Je me réveillai un mal au bras intense. J’étais dans un lit, mes amis autour de moi et à côté, le Sacrieur qui avait subi les mêmes maux que moi. Je balbutiai :
- Comment ?
- Quand nous sommes arrivés, il a pris peur, dit Mizouu
- Yrrah s’est enfuit à ma vue, continua Lastiko.
J’hochai la tête à Lasti en guise de compréhension. Je leur annoncé la triste nouvelle avec le peu d’air que je puis inspirer :
- Il l’a… l’a eu…
- Qui donc le truc noir a-t-il eu ? interrogea Varagone
- Le huitième élu…
Sopirin d’un ton déterminé assura :
- Nous y arriverons, nous vaincrons Drannoc même si nous ne sommes pas au complet !
- Oui, je viendrai avec vous, certifia le Sacrieur. Je me nomme The-Alexiboss mais Alexis sera plus court.
Nous le saluèrent :
- Enchanté ! Je suis Sopirin.
- Moi de même, je me nomme Linkef.
- Varagone est fier d’avoir Alexis comme nouveau maître !
- Moi c’est Mizouuuuuuu !
- Lastiko, le spectre.
Alexis et moi nous informâmes auprès de nos camarades :
- Y a-t-il des survivants ?
Un mercenaire entra dans la pièce et répondit :
- Oui, et tous les survivants et mercenaires vont se joindre à vous !
Je me levai et sortis de ce qui ressemblait à une tente et regardai les soldats se préparer. Je me tournai vers le mercenaire et lui demandai :
- Votre nom ?
- Commandant Arnold Rahem !
- Et bien commandant, vous irez à Bonta pour les rallier à notre cause. Nous nous chargerons de Brakmar.
- J’en informe sur le champ mes hommes !
Mizouu soupira :
- Alors on repart ?
Tous le monde se leva et sortit de la tente.
« Je prends ça pour un oui »
Envie de rajouter des choses pour la partie suivante ? C'est ici!1) Les personnages :Pas de personnage IG dans la prochaine partie parce que le(s) rôle(s) est/sont déjà attribué(s).
plusieurs personnages inédits : Vous pouvez en inventé un qui sera plus ou moins important selon vos idées;
2) Orientation :
euh... Dans Star Wars, j'viens de faire la campagne du côté des jedis !!!
3) Le reste du plus sérieux au plus débile :Mettez plein de phrases susceptibles d'être, utilisées, des mots etc...
Donnez moi des idées pour que la partie 11 soit encore meilleure !